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Journée mondiale de lutte contre le sida

La Journée mondiale de lutte contre le sida, organisée tous les 1er décembre est établie le 1er décembre 1988 par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le droit de tenir cette manifestation chaque année a été approuvé par l’Assemblée générale des Nations Unies.

Le thème mondial pour 2022 est « Poussons pour l’égalité » = agissons pour lutter contre les inégalités d’accès aux soins et aux droits ».

Participez au programme organisé par la commission santé :

  • 18h00 rassemblement Place Bellecour et Marche commémorative
  • 19h30 19 rue des Capucins, 69001 LYON, Vin chaud et nos 3 chorales AVAV, OMEGA, CRAQ!

Trajet : Remontée de la rue de la république, puis Rue Joseph Serlin jusqu’à la place des Terreaux puis Centre LGBTI+ Lyon.

Information :

Cette journée du 1er décembre est rapidement devenue l’une des journées commémoratives les plus suivies dans le monde. Elle est aujourd’hui reconnue et marquée chaque année sur l’ensemble de la planète, par tout un éventail de partenaires, des gouvernements aux associations. Elle est aussi l’occasion pour les médias de parler de l’épidémie et pour les associations de lutte contre le sida de mener des actions d’information, de prévention ou de plaidoyer

Le symbole international de la lutte contre le sida est le ruban rouge. Créé en 1991 à l’initiative d’un groupe d’artistes américains Visual Aids Artists Caucus, La couleur rouge est choisie en référence au sang mais également à l’amour et la passion. . Ce ruban a la forme d’un V inversé (lettre symbolisant la victoire et qui doit se renverser le jour où la maladie sera éradiquée). Il se porte pour symboliser la solidarité avec les personnes touchées par le VIH et celles décédées du sida.

Quelques chiffres sur le VIH en Auvergne-Rhône-Alpes

Près des trois quarts des personnes ayant découvert leur séropositivité (73,8%) sont des hommes cisgenres, un taux en augmentation et supérieur à la moyenne nationale. L’âge moyen augmente également, avec une hausse de la part des + de 50 ans (24% vs 20% en 2017-2019). De plus, en raison d’un moindre accès et/ou d’un retard au dépistage dû à la crise sanitaire, on observe une augmentation de la part de personnes diagnostiquées à un stade avancé (35% contre 27% en 2017-2019), supérieure au niveau de la France métropolitaine hors Ile de France (31% en 2020). Cela constitue autant une perte de chance thérapeutique pour les personnes concernées.

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